Même si plusieurs légendes font référence aux origines du café, il semblerait que ce dernier ait trouvé son origine en 300 dans les montagnes éthiopiennes.

Les moines préparaient un mélange avec les “cerises” de l’arbre, le caféier, pour obtenir une boisson aux effets stimulants très intéressants.

Aujourd’hui 90 pays sont producteurs de café dans 3 régions du monde que l’on appelle la ceinture du café.

La Ceinture du Café se situe entre les Tropiques du Cancer et du Capricorne. Elle est divisée en trois régions principales : l'Amérique latine, l'Afrique et l'Asie Pacifique.

Vous en buvez tous les jours, une ou plusieurs tasses, et voulez tout savoir sur le café ?

Découvrez notre top 10 des informations méconnues sur le café.

De quoi briller auprès de votre barista préféré et apprécier chaque jour davantage votre tasse de café préféré.

L'origine du café

Tout comme le pétrole, l’or ou de nombreuses matières premières précieuses, le café est coté en bourse.

En effet, le café arabica se trouve sur le New York Board of Trade (ou NYBOT).

De plus, le café robusta est principalement coté à la bourse de Londres.

En janvier 2022, le café était placé en 6e position des conseils d’investissement, entre le cuivre et le lithium.

Qui est capable de citer les 5 pays qui dominent la production mondiale de café ?

Même les grands amateurs de café peuvent ne pas connaître la réponse.

Si certaines réponses peuvent sembler évidentes, il faut se méfier des idées reçues.

On retrouve le Brésil à la première place des pays producteurs de café, suivi du Vietnam.

La Colombie n’arrive qu’en troisième position, talonnée par l’Indonésie et l’Éthiopie !

Un caféier peut mesurer jusqu’à 12 mètres ! Il est cependant généralement taillé entre 2 et 3 mètres pour faciliter la récolte des cerises de café. S’il peut vivre près de 50 ans, ce n’est que pendant une trentaine d’années qu’il donnera sa pleine production : environ 2,5 kg par an. Soit entre 400 et 650g de café torréfié seulement.

La culture du café demande de la patience. En effet, une fois que les jolies fleurs blanches du caféier laissent place aux cerises de café, il faut encore attendre entre 6 à 8 mois pour l’arabica.

Tandis qu’il faut attendre 9 à 11 mois pour le robusta, avant que les cerises n’arrivent à maturation.

En nombre de temps de préparation d’un café, cela correspond à plus de 160 000 expressos.

Une cafetière est exposée au milieu d’œuvres d’art modernes.

La Chemex, prononcé “Kemex”, a été inventée en 1941 par un chimiste allemand (Peter Schlumbohm).

Cette méthode d’extraction douce, au look design et de plus en plus populaire dans vos cuisines, est exposée au MOMA (Museum Of Modern Arts), à New York, depuis 2011.

Le café est, plus que jamais, un art !

Lorsque l’on désigne les différentes variétés de café, les termes arabica et robusta sont partout. Pourtant, l’un d’eux est un abus de langage. Le terme arabica désigne une espèce de caféier alors que le robusta est une variété.

En réalité, le robusta découle de l’espèce Coffea canephora. Il serait donc plus juste, botaniquement parlant, de parler d’arabica et de canephora. Saviez-vous également que le robusta, outre son goût plus marqué que celui de l’arabica, est plus fort en caféine ?

L’histoire raconte qu’en 1727, Francisco de Mello Palheta, un sergent portugais, usa de ses charmes pour obtenir de la femme du gouverneur de Guyane, quelques cerises de café au nez et à la barbe de son mari… avant de les rapporter au Brésil.

Consciente de l’importance économique du café pour son territoire guyanais, la France avait, en effet, interdit l’importation des caféiers au Brésil. C’était sans compter sur la détermination du gouvernement brésilien… Sans doute l’un des flirts les plus lucratifs de l’Histoire !

Si le traitement ancestral du café est la méthode par voie sèche (cafés natures), il a fallu inventer de nouvelles méthodes pour s’adapter aux conditions climatiques. C’est le cas de la méthode par voie humide (cafés lavés). La principale différence entre ces deux méthodes tient dans le transfert du sucre contenu dans la pulpe des cerises de café vers le grain. Dans la méthode par voie sèche, la cerise fermente dans son entièreté, quand dans la méthode par voie humide, la pulpe de la cerise est quasiment totalement retirée du fruit. La différence de traitement influe donc sur le goût café.

L’erreur est humaine ! Quand le botaniste français, Antoine de Jussieu, a commencé à étudier le caféier, il pensait que c’était du jasmin… comme bon nombre de ses confrères à travers le monde ! Une erreur d’appréciation qui ne l’empêcha pas de réaliser le premier dessin botanique exact du caféier en 1715.

En 1991, à l’université de Cambridge, la cafetière était éloignée des bureaux. Pour vérifier si elle était pleine ou vide (et éviter des déplacements inutiles) d’ingénieux chercheurs installèrent le premier appareil photo en ligne de l’histoire du web.

De Louis XV, qui veillait personnellement à la confection de son café, à Teddy Roosevelt qui en buvait une “bassine” quotidiennement, il a été l’allié des hommes d’État, mais aussi des artistes. Pour n’en citer que quelques-uns : Honoré de Balzac consommait jusqu’à 50 tasses de café par jour et le considérait comme un moteur essentiel à la création de son œuvre, et l’Américain David Lynch a fait du café un personnage à part entière de sa série Twin Peaks et de bon nombre de ses films.

Tout comme le pétrole, l’or ou de nombreuses matières premières précieuses, le café est coté en bourse.

En effet, le café arabica se trouve sur le New York Board of Trade (ou NYBOT).

De plus, le café robusta est principalement coté à la bourse de Londres.

En janvier 2022, le café était placé en 6e position des conseils d’investissement, entre le cuivre et le lithium.

Qui est capable de citer les 5 pays qui dominent la production mondiale de café ?

Même les grands amateurs de café peuvent ne pas connaître la réponse.

Si certaines réponses peuvent sembler évidentes, il faut se méfier des idées reçues.

On retrouve le Brésil à la première place des pays producteurs de café, suivi du Vietnam.

La Colombie n’arrive qu’en troisième position, talonnée par l’Indonésie et l’Éthiopie !

Un caféier peut mesurer jusqu’à 12 mètres ! Il est cependant généralement taillé entre 2 et 3 mètres pour faciliter la récolte des cerises de café. S’il peut vivre près de 50 ans, ce n’est que pendant une trentaine d’années qu’il donnera sa pleine production : environ 2,5 kg par an. Soit entre 400 et 650g de café torréfié seulement.

La culture du café demande de la patience. En effet, une fois que les jolies fleurs blanches du caféier laissent place aux cerises de café, il faut encore attendre entre 6 à 8 mois pour l’arabica.

Tandis qu’il faut attendre 9 à 11 mois pour le robusta, avant que les cerises n’arrivent à maturation.

En nombre de temps de préparation d’un café, cela correspond à plus de 160 000 expressos.

Une cafetière est exposée au milieu d’œuvres d’art modernes.

La Chemex, prononcé “Kemex”, a été inventée en 1941 par un chimiste allemand (Peter Schlumbohm).

Cette méthode d’extraction douce, au look design et de plus en plus populaire dans vos cuisines, est exposée au MOMA (Museum Of Modern Arts), à New York, depuis 2011.

Le café est, plus que jamais, un art !

Lorsque l’on désigne les différentes variétés de café, les termes arabica et robusta sont partout. Pourtant, l’un d’eux est un abus de langage. Le terme arabica désigne une espèce de caféier alors que le robusta est une variété.

En réalité, le robusta découle de l’espèce Coffea canephora. Il serait donc plus juste, botaniquement parlant, de parler d’arabica et de canephora. Saviez-vous également que le robusta, outre son goût plus marqué que celui de l’arabica, est plus fort en caféine ?

L’histoire raconte qu’en 1727, Francisco de Mello Palheta, un sergent portugais, usa de ses charmes pour obtenir de la femme du gouverneur de Guyane, quelques cerises de café au nez et à la barbe de son mari… avant de les rapporter au Brésil.

Consciente de l’importance économique du café pour son territoire guyanais, la France avait, en effet, interdit l’importation des caféiers au Brésil. C’était sans compter sur la détermination du gouvernement brésilien… Sans doute l’un des flirts les plus lucratifs de l’Histoire !

Si le traitement ancestral du café est la méthode par voie sèche (cafés natures), il a fallu inventer de nouvelles méthodes pour s’adapter aux conditions climatiques. C’est le cas de la méthode par voie humide (cafés lavés). La principale différence entre ces deux méthodes tient dans le transfert du sucre contenu dans la pulpe des cerises de café vers le grain. Dans la méthode par voie sèche, la cerise fermente dans son entièreté, quand dans la méthode par voie humide, la pulpe de la cerise est quasiment totalement retirée du fruit. La différence de traitement influe donc sur le goût café.

L’erreur est humaine ! Quand le botaniste français, Antoine de Jussieu, a commencé à étudier le caféier, il pensait que c’était du jasmin… comme bon nombre de ses confrères à travers le monde ! Une erreur d’appréciation qui ne l’empêcha pas de réaliser le premier dessin botanique exact du caféier en 1715.

En 1991, à l’université de Cambridge, la cafetière était éloignée des bureaux. Pour vérifier si elle était pleine ou vide (et éviter des déplacements inutiles) d’ingénieux chercheurs installèrent le premier appareil photo en ligne de l’histoire du web.

De Louis XV, qui veillait personnellement à la confection de son café, à Teddy Roosevelt qui en buvait une “bassine” quotidiennement, il a été l’allié des hommes d’État, mais aussi des artistes. Pour n’en citer que quelques-uns : Honoré de Balzac consommait jusqu’à 50 tasses de café par jour et le considérait comme un moteur essentiel à la création de son œuvre, et l’Américain David Lynch a fait du café un personnage à part entière de sa série Twin Peaks et de bon nombre de ses films.